Il y a tous ces petits gestes, que tu fais, les uns après les autres. Ne pas rentrer trop tard, il ne serait plus possible d’appeler — mais pas trop tôt non plus, tu tiens à marquer ton autonomie.
Tu réfléchis à ce que tu veux dire ou taire en attendant le bus, mais tu ne sais plus. Il ne t’a pas écrit, c’est une déception, mais tu ne l’as pas fait non plus. Est-ce à lui de le faire ? Après tout, là aussi tu veux marquer tes limites, et rappeler que tu es, somme toute, un être humain, dont il faut tenir compte. Lire la suite